Retrouvez-nous sur Facebook avec davantage d'informations.
Après l'Ouest, c'est dans le Sud des Etats-Unis qu'est recensé ce qui semble être un deuxième malade du SRAS dit "coronavirus chinois" ou 2019-nCoV.
Le malade est revenu d'un séjour à Wuhan, la ville foyer chinois de l'épidémie où sont déjà décédées 18 personnes, avant de revenir à son domicile dans le Texas. Pour l'instant, les médecins indiquent qu'il présente les risques de présence positive du virus. Il est actuellement maintenu à l'isolement, dans l'attente d'éléments confirmant définitivement qu'il a contracté la maladie qui a déjà fait 18 morts et plus de 600 malades. Rappelons que le virus n'a été découvert qu'il y a un mois et que sa période d'incubation est de 2 jours à 2 semaines.
A ce jour, n'ont été découverts que des cas en Chine, mais également en Corée du Sud (1 malade recensé) et aux Etats-Unis.
L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), organe de l'ONU, évoque l'urgence en Chine mais refuse de parler d'urgence de santé publique de portée internationale. Toutefois, une commission scientifique internationale a été mise en place, pour tenter de trouver les sources du virus, la raison de sa transmission et bien entendu un vaccin.
L'OMS affirme également que chaque pays doit dès à présent prendre des mesures sanitaires pour prévenir l'épidémie. Les individus sont invités à prendre à cœur des éléments simples comme le fait de se laver les mains après tout contact avec d'autres personnes et bien entendu faire attention aux éternuements, en se couvrant par exemple la bouche.
Au niveau français, 2 centres disposent du test permettant de déterminer s'il s'agit ou non d'un malade du 2019-nCoV, à Paris et Lyon. Le gouvernement estime que dans le courant de la semaine prochaine la majorité des centres hospitaliers en seront pourvus.